CONSENTEMENT : quand le NON devient un projet commun

Jusqu’il y a peu de temps je pensais que le « consentement » avait surtout à voir avec les pratiques intimes.

Et puis, j’ai eu l’occasion de participer à un atelier intitulé « CONSENTEMENT : quand le NON devient un projet commun » qui est venu questionner la place du NON dans tout un tas d’espace de ma vie.

– Est-ce que je me sens tout le temps libre de dire NON peu importe la personne, le lieu, la situation ?
– Pourquoi est-ce difficile d’affirmer des préférences dans certains contextes, dans certains enjeux relationnels ?
– Quelles injonctions à la coopération ai-je intégré plus ou moins consciemment ?
– Suis-je au clair sur les défis que représente l’expression du NON pour les différents groupes d’humain autour de moi ?
– Qu’est ce qui se joue en moi quand j’ai vraiment l’attente d’un OUI et que je reçois un NON ?
– Comment puis-je contribuer auprès de mes proches à créer un espace suffisamment sécure pour que le NON ait la possibilité de se dire et nous permette ainsi de vivre de plus d’authenticité et de confiance mutuelle ?

Si ces questions vous interpellent, que vous vous les posiez déjà ou si au contraire vous ne vous les êtes jamais posées, je ne peux que vous encourager à aller explorer tout cela et bien plus encore en compagnie de Laurent Becquart qui a créé les stages et atelier que j’ai évoqué.

Je suis vraiment admirative de toute la connaissance et l’expérience que Laurent a compilé sur ce sujet et de comment il arrive à rendre cela accessible, compréhensible pour nous permettre de vivre plus de confiance dans les relations avec nos proches, plus de discernement dans nos relations interpersonnelles et plus de consciences des enjeux systémiques opérants en nous et autour de nous.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, rendez-vous sur le site de Laurent pour découvrir les prochaines dates de stages et d’atelier à distance ou en présentiel.

Et vous, comment êtes-vous avec ce thème du consentement ?