–> Écouter ce que vivent les gens derrière ce qu’ils disent grâce à la CNV.
Si je n’arrive pas/plus à écouter l’autre avec empathie, c’est juste que je n’ai plus d’espace en moi. Ce que dit l’autre n’est pas le problème, pas plus que je ne suis le problème. Il n’y a juste pas assez d’espace dans les êtres en présence pour accueillir toute l’intensité de ce qui se vit en chacun.
Faire le choix de la NonViolence est une pratique active qui demande de faire des choix concrets dans mes intentions et dans mes actes.
Mon corps, mes émotions, mon état, mon comportement sont des manifestations de mes besoins fondamentaux.
Cette différenciation clé est pour moi un soutien précieux pour me rappeler que je peux faire le choix du ET.
Lors d’un conflit, à la vitesse de l’éclair, mon cerveau se met à chercher « quoi faire ? » pour mettre fin au conflit.
Je ne sais pas pour vous, mais mon chacal intérieur est un expert quand il s’agit de SAVOIR, analyser, diagnostiquer ce qui ne va pas chez toi. Il est persuadé qu’il a une vision experte de ce qu’il t'arrive.
Quand je veux changer ta manière de parler, c'est que j'ai besoin d'ajuster ma manière de t'entendre.
Quand quelqu’un choisit de partager avec moi ce qu’il se passe pour lui, la plupart du temps, il me demande juste de l’écouter.
Ce qui nous SÉPARE (les stratégies) est une occasion de nous rappeler ce qui nous RELIE (les besoins).
J'ai le choix de voir tes REPROCHES comme une attaque dirigée contre moi ou comme une OPPORTUNITÉ de comprendre ce qui se passe pour toi.
Avant de trouver une solution, ai-je pris le temps d'écouter où est le problème ?
Ce que j’aime avec la CNV, c’est qu’elle me permet non seulement de pacifier mes relations avec les autres mais aussi de pacifier mes relations avec moi-même.
